Abercrombie & Fitch with Izadora!

Une journée ensoleillée, des rues bondées, et des boutiques pleines à craquées bienvenue à New York! C'est ce qui me plait le plus dans la ville qui ne dort jamais, il y a toujours du monde, toujours de l'animation. J'ai donné rendez vous à Izadora à 14h dans la boutique Abercrombie & Fitch. Deux fanatiques de modes comme nous à New York ça ne peut que aller faire les boutiques, et j'ai repéré un jean destroy Abercrombie la semaine dernière que je dois à tout prix m'offrir! Je traverse la 5th avenue chaussée de mes spartiates noires à grandes enjambées. Je porte un petit short en jean et une tunique de ma création, accessoirisée par une large ceinture vernie noire et de mon sac à franges. Mes cheveux sont relevées en une queue de cheval haute, et je porte mes raybans habituelles. J'arrive enfin dans la boutique choisie dont un homme m'ouvre la porte. J'y entre et retire mes lunettes que je range dans mon sac, je parcoure la boutique du regard à la recherche de mon amie. Elle n'est pas encore là, tant pis je vais l'attendre, je dois être un peu en avance, ou juste un peu moins en retard que d'habitude lol! Je me balade entre les rayons et en profite pour prendre le jean que je voulais à ma taille. Je suis sûr qu'il m'ira parfaitement bien, c'est toujours le cas avec les jeans de marque, c'est bizarre mais on dirait qu'ils nous font de plus jolies fesses, qu'ils épousent parfaitement notre corps comme s'ils étaient créés sur mesure...

Quoi de mieux que de faire les boutiques! Il n’y avait rien au monde que je pouvais aimé plus que la sensation de sortir d’un grand magasin avec les mains pleine de sac! New York était le paradis des accros du Shopping surtout si on avait beaucoup d’argent et, coup de chance, j’en avais à jeter par les fenêtres!

Il était maintenant 13h15 et j’avais rendez-vous avec Jenny à 14h00 chez Abercrombie & Fitch pour une session de magasinage intensive. Je ne m’en pouvais déjà plus. J’avais tellement hâte d’essayer une tonne de vêtement et d’en rapporter le double à la maison. Je me suis donc coiffé et habiller. C’est donc avec les cheveux détacher et onduler et habiller d’une des création de ma mère, une robe blanche faite sur mesure pour moi, assortie avec un collier de quelque petit diamant de couleur, avec un sac à main Vuitton et des ballerine de ma même marque que mon sac, que je suis sortie. J’ai prit un taxi et à 13h55 je suis descendu sur la cinquième avenue et j’ai marché jusqu’à la dit boutique. Une fois arriver, je suis entré et j’ai regardé autour pout trouver Jenny. La voilà! Je me suis approché d’elle.

-Jenny! Ça va?

Elle regarda se qu’elle avait entre les mains et sourit.

-Tu n’a pas commencer sans moi, j’espère?

J'entends une voix derrière moi et me retourne. Je me trouve face à une Iza' resplendissante dans une petit robe blanche qui lui va à ravir, sûrement une création de sa mère. Mes yeux font un aller retour rapide entre mon amie et le jean que je tiens entre mes mains avant que je fasse un petit sourire à la jolie blonde. Effectivement j'avais commencé un peu en avance, en même temps me laisser dans une boutique, seule, il fallait bien que je m'occupe lol!

- Bien sûr que non, je m'assurais juste que les meilleurs articles seraient disponibles lol!

Nous rions en coeur, puis la jeune fille me pousse un peu pour que j'avance entre les rayons. Nous nous mettons à farfouiller sans vraiment regarder, trop occupée à discuter. Je lui racontais mon week end et la soirée de rentrée à laquelle elle n'avait malheureusement pas pu participer.

- Alors raconte moi ton week end? Avec qui l'as-tu passé, et surtout qu'as-tu fais? Lol!

Je savais que Izadora était une grande fêtarde elle aussi, et avec un physique comme le sien je doutais qu'elle ait pu passer un week end sans séduire de nombreux garçons...

Je sourit a mon amie lorsque je la vit. Le jean qu’elle tenait entre les mains semblait fabuleux et je lui dit en espérant qu’elle l’achet. Cette boutique était merveilleuse. Il y avait une tonne de vêtement dans plein de couleur! Un paradis! Bref, avec Jenny, je regardait plusieurs vêtement sans vraiment être consciente. S’il y avait une chose que j’aimais plus que faire les boutique, c’était bien parler avec des amis! Et par chance, Jenny aimait ça autant que moi.

-Avec qui tu est aller, a cette soirée?

Je sourit en coin. Je ne voulait pas savoir si elle y était aller avec toutes les aspirante au trône, non, je voulais savoir si elle y était aller avec un garçon. Puis, je répondit a son interrogation.

-Moi? Et bien j’ai rencontré Romeo Di Marco, un jeune étudiant Italien de Yale de 21 ans. Et je peut te dire qu’on a pas jouer à la poupée.

Je souris à Jenny tout en regardant les vêtements que je tenait dans mes mains. Oui, j’avait couché avec lui, et alors? Il était beau, il était jeune et, après constatation, savait faire des choses que même un dieu grecs n’aurait pas mieux fait. Je ne le reverrais plus jamais, mais j’en avais rien n’à faire. Il n’était pas l’homme de ma vie, non, c’était seulement un gars de passade avec qui j’avais pu me divertir.

Iza me demande des détails à propos de Aaron. Si je m'écoutais j'en parlerais pendant des heures j'en suis sûr mais mon amie trouverait sûrement ça bizarre de ma part. Elle risque déjà de trouver bizarre que je n'ai pas couché avec lui, c'est vrai que ça ne me ressemble pas vraiment, d'habitude j'ai plutôt tendance à finir mes soirées dans les draps d'un homme. C'est d'ailleurs un des point commun que je peux avoir avec Izadora, l'une comme l'autre on fait les choses comme on le sent sans se préoccuper de ce que les gens pensent.

- J'y suis allé seule... Mais j'y ai rencontré un charmant jeune homme. Brun, ténébreux, musclé comme un dieu, et très très charmant... On a passé toute la soirée ensemble, ensuite on est allé en boite puis chez moi. On n'a pas couché ensemble, mais il est quand même resté pour la nuit! Un vrai gentleman lol!

La jeune fille me regarde étonnée et me dit de lui dire la vérité au lieu de lui raconter n'importe quoi. Je lui souris avant de lui dire:

- Non je t'assure c'est vrai. On s'est juste embrassé... Mais j'avais pas envi de plus, même s'il était incroyablement sexy lol! J'ai hâte de le voir en cours...

Je continu à farfouiller dans les rayons un peu rêveuse tandis que la jolie blonde me raconte sa rencontre avec l'étalon italien. Je me met à rire avant de lui demander:

- Dis moi que les italiens sont à la hauteur de leur réputation. Je t'en supplie ne brise pas mon rêve! Mdr!

J’écoutais Jenny parler de sa soirée et j’étais surprise de ça réponse. Alors, comme ça, elle avait préféré attendre comme une petite fille chaste et pure? Elle décrivait le jeune homme et il semblait attirant voir même séduisant. Je devais connaître son nom...

-Comment il s’appelle?

Je la regardais du coin de l’œil en fouillant dans les rayons pour trouver quelque chose d’intéressant à mettre. Je devais savoir son nom. Pourquoi n’avait il rien fait? Il était idiot? Seulement s’embrasser et ne pas avoir envie de plus? Il avait mauvaise haleine? Et elle avait hâte de le voir en cours? Cette Jenny me surprendra toujours décidément!

-Jenny, les hommes c’est comme les jeans. Dans le magasin, il semblait magnifique mais il faut l’essayer pour en avoir la certitude!

Je souris en coin en lui donnant une paire de jean. Peu être qu’au fond elle n’était pas comme moi cette petite Jenny. Elle était peu être à la recherche de l’homme de sa vie alors que moi, j’étais à la recherche de bonnes nuits. Bref, je ne laissai pas le suspense duré sur ma nuit avec l’italien.

-C’est encore mieux que tout ce que tu a pu rêver Jenny. Je peux te dire qu’il s’avait s’y prendre. Si je retourne à une soirée à Yale, je t’y amènerai, ça vaut le détour.

Je ris à la comparaison de Izadora, c'est vrai d'habitude je préfère les essayer mais la c'était différent.

- Il s'appelle Aaron, il est nouveau à New York, il est français... Et je ne pense pas que je puisse le revoir sans l'essayer, il est tellement craquant! Là je pense que c'était à cause du bal et tout, c'était plutôt magique on va dire.

Je regarde les jeans que mon amie me tend et les pose au niveau de ma taille pour voir comment ils rendraient sur moi, avant de reprendre la parole.

- En plus d'après Gossip Girl Annabeth avait des vues sur lui. Et il est hors de question que je lui laisse. Il est grand temps que cette petite prétentieuse redescende sur terre et qu'elle se mette en tête que face à moi elle n'a aucune chance peu importe le domaine!

Izadora arque un sourcil en souriant. Et oui on ne me changera jamais, s'il y a une chose que j'aime c'est la vengeance et l'humiliation de mes ennemies. C'est vrai que ça m'a d'abord énervé d'apprendre que cette cruche avait dragué Aaron mais finalement il m'a choisi moi, c'est tout ce qui compte, j'ai hâte de me pavaner sous le nez de la brunette au bras du jeune homme.
La jolie blonde me raconte les exploits sexuels de son bel italien. 'est sûr une soirée à Yale est très tentante, j'ai toujours adorée les soirées étudiantes.

- On devrait partir tout un week end comme ça on se fera tout le département linguistique pour comparer les pays!

Nous rions en coeur tandis que je regarde une petite robe blanche dos nu sous toutes les coutures.

Il devais être très nouveau parce que son nom me disait rien, j’était un peu déçu que Jenny veulent sortir avec lui avant que j’ai pu juger de son apparence et de ses compétence. Elle le voulait et je lui laisserais. Bien que j’aime coucher a gauche et à droite jamais, au grand jamais, je ne mettait dans mon lit le prétendant d’une de mes amies! C’était contre mes principes!

-Oh la magie des bal ou les princesse rencontre de jolie princes...

Je souris. C’était sarcastique. Je n’était pas fan de tout ces fla-fla. Oui, j’aimais y aller pour être vu dans une élégante robe et pour me trouver quelque chose à faire de ma nuit, mais jamais pour trouver l’homme de mes rêves. Il n’y a rien de plus faux qu’un bal. Tout y est artificiel! Peu importe...

J’avais dans mes mains déjà plusieurs robes, hauts et jeans. Une vendeuse vint nous voir pour nous débarrasser les mains et les mettre dans une cabine d’essayage. Je me me tourna alors vers Jenny et sourit à sa proposition.

-Je peut toute suite te dire que les Italiens et les Espagnol sont au haut de la liste. Par contre, j’ai était très déçu par les Allemand et les portugais...dommage.

Je souris. J’avait des sources de confiance pour rentrer a Yale dans les soirées étudiante. Jenny le savais sans doute. J’étais constamment invité. Ma réputation me suivait de loin. Je regarda ses main qui tenais une robe blanche.

-Elle est très jolie.

Je souris à la remarque de la jolie blonde, on dirait qu'elle a déjà tout essayer à l'écouter. Elle a toujours été proche de sa mère, elle l'a donc suivi un peu partout dans le monde pour ses défilés alors que moi à part les séjour à Tijuana pour surfer et boire comme des trou avec mes potes je n'ai que très rarement quitté les Etats Unis.

- Oui elle est sympa, avec deux ou trois modification ça pourrait le faire...

Il faudrait que je refasse le décolleté et peut-être que je la racourcisse un peu. Je déteste avoir des robe qui m'arrive aux genoux, sa casse la silhouette je trouve et avec mes jambes interminables ce n'est vraiment pas le top. Oui mes jambes sont immense, un de mes principaux atouts, elles doivent mesurer les deux tiers de mon corps, et j'adore les montrer. Nous entrons dans les cabines d'essayages et je me déshabille avant d'enfiler un jean taille basse. Je sors simplement vêtue de mon jean et de mon soutif pour passer la tête dans la cabine de Iza.

- J'ai vraiment besoin de sortir de mon train train quotidien, il faudrait qu'on organise une bonne grosse fête, mais une vrai, pas le genre de soirée où l'on boit du champagne en tenue de soirée...

Je souris à Jenny lorsqu’on marchait en direction des cabines d’essayage. Je savais qu’elle devait ce dire que j’avais rencontré beaucoup, trop, de garçon dans ma vie par rapport à mon âge. Mais ce que les autre pouvais penser ne m’intéressait gère. Elle avait raison. J’en avais sans doute vue beaucoup trop pour mes petits dix-sept ans...mais qu’es que ça peut bien faire? J’avais eu l’immense chance d’avoir une mère jeune et proche de moi qui m’avait appris la vie à la Jeunesse Doré et avec qui j’avais voyagé partout dans le monde alors pourquoi me gêner de se que j’étais?

J’était entrain d’enfiler une mini jupe lorsque Jenny passa sa tête par le rideau de la cabine. Qu’elle me voie en sous vêtement était le dernier de mes soucis, je n'avait rien n'a cacher ; je suis magnifiqu et je le sais.En plus, lorsqu’on est dans un défiler et que c’est le temps de changer de tenu, tous les model son à moitié nues et ça ne m’avais jamais choquer alors pourquoi ça me choquerais maintenant? Surtout qu’elle était mon amie. Je le regarda un moment et sourit.

-Tu veut dire que tu ne veut pas de soirée à la Blair, c’est ça?

Je sourit. Je savait qu’entre elle et Blair c’était loin d’être l’amour fou mais je savais aussi que c’.était le genre de soirée qu’elle organisais parce que j’y était souvent aller. Je réfléchie un moment en retirant la jupe pour en essayer une autre.

-Oui je vois, tu veut une soirée Trash? Une sorte de débauche avec alcool et plus?

Je sourit. J’adorais ce genre de soirée où l’on retrouvais alcool en tout genre et drogues diversifier. Le genre de fêter où tout le monde fini à moitié nu et à moitié conscient. Le genre de soirée où l’on se réveille le lendemain à ce demandant où l’on n’ai et qu’es qu’on a fait mais avec cette merveilleuse sensation de bien être intérieur.

-On pourrait faire ça chez moi. Mon père part à Moscou dans deux jours pour deux semaine et ma mère va à Paris avec des amies.

Je souriais un peu plus à chaque mot prononcés par la jolie blonde. Elle comprenait toujours tout de suite où je voulais en venir, comme si elle lisait dans mes pensées. Une soirée trash comme elle dit, pleine d'alcool, de drogue et de beaux garçons voilà ce qu'il me fallait. Pas besoin de petit four et de tout ces trucs gnangnans que Blair Waldorf adore. Je préfère largement les soirées californiennes, là où l'on a pas besoin de se demander si notre chignon tiendra toute la soirée. Izadora change de jupe en me disant que son appartement sera libre ce week end. A vrai dire l'endroit n'est pas tellement le problème, mon appartement est toujours libre et je voyais plutôt ça dans une suite au Plazza, genre soirée secrète... Ce qui m'embête le plus c'est que je déteste organiser des soirées, après il faut toujours faire attention à ce que tout se passe bien, parce que si la soirée tourne cours c'est notre réputation qui en subit les conséquences.

- Je comptais surtout sur ton aide pour organiser tout ça. Je voulais faire ça au Plazza.

J'avais hâte qu'on organise tout ça, les soirées c'est vraiment mon pécher mignon. Et depuis que je suis à New York on ne peut pas dire que j'ai assisté à beaucoup de vrai fête, alors comme dit l'expression on n'est jamais mieux servi que par soi-même, autant que je prenne les choses en main.

Je sourit à la jeune fille en enlevant de nouveau la jupe que je venais de mettre pour essayer un jean. Comme ça, elle avait déjà prévu l’endroit? Elle voulait tout simplement assure ses arrière de Reine si toute merdait...Je ne pouvais pas lui en vouloir, elle était tellement fière d’être reine qu’elle ne voulait sans doute pas faire tomber sa réputation et puis moi, j’avais l’habitude de ce genre de soirée à organiser et mon statu n’était pas du tout en danger.

-Va pour le Plazza. Une suite serait parfait pour se genre de soirée.

Je me suis regarder dans le miroir une fraction de seconde avant d’enlever de nouveau le vêtement que je portais pour essayer une mini robe bleu. Elle m’allait plutôt bien...enfin bref, je devais rester concentrer sur ce que Jenny me disait.

-Je vais t’aider à l’organiser, cette petite fête. Faudrait qu’on trouve une date et qu’on fasse un liste des personnes qu’on veut voir et de ceux qu’on ne veut absolument pas voir. Comme ça, on assurera une certaine qualité a notre fête!

J'étais contente que Iza soit d'accord pour m'aider aux préparatifs de la fête. Je pourrais profiter de la soirée comme ça, moi qui suis stressée de nature je pourrais m'amuser, je sais que même si je ne suis plus en état de gérer quoi que ce soit, Iza' sera là s'il se passe quelque chose. Et puis je trouverais bien quelques filles pour nous donner un coup de main histoire qu'on en fasse le moins possible, elles seront chargées de rester sobres durant la soirée.

- Génial! On va organiser la meilleure fête que New York ai connu!

Je retourne dans ma cabine et retire mon jean pour enfiler une robe type marin à manche longue. Je me regarde dans le miroir tout en écoutant Izadora à côté qui me dit qu'il faut choisir une date et surtout faire un liste d'invités. La liste est la priorité, hors de question qu'on se trimballe tout les coincé de New York, qui risquent d'être choqués et limite d'appeler les flics.

- Je ne veux surtout pas voir Annabeth! Je crois que je préfèrerais encore voir Blair à cette soirée que Annabeth!

Je souris lorsque Jenny partie dans sa cabine faire ces essayage. Je fini d’essayer tout ce que j’avais demander à la vendeuse de mettre dans la cabine tout en passant a cette future fête qui allais être, comme le disais si bien Jenny, la meilleure que le tout New York n’est vu. Ces soirées étaient les meilleures. Celle où tout le monde était assis à manger des petits gâteaux et des canapés, on aura amplement le temps d’en faire lorsque l’on aura l’âge d’en faire. Pour le moment, s’amuser était ma priorité. Et comme le disais si bien ma mère : « Vos mieux tout essayer à ton âge pour savoir qu’on aime rien, que rien essayer et penser aimer tout. » Comme elle était sage ma mère parfois...

-Si tu veux. Pas contre, Chuck doit y être sinon, ce n’est pas une vrai débauche. Ah et je ne veut pas voir de cette fille là, tu sais celle qui arrête pas de me suivre partout à l’école. J’en peut plus d’elle.

Je souris de nouveau à cette idée en sortant de ma cabine pour attendre Jenny pendant que la vendeuse prenait mes vêtements pour les apporter au comptoir. Cette fille elle ne s’appelait...euh...aucune idée. Je ne lui avais jamais demandé et je ne comptais pas le faire. Elle était étrange dans le mauvais sens du terme. Enfin bref quoi.

-Et On devait doit engager un « Doorman » aussi...Comme ça on sera sur que les gens qui doivent rentrer entre et que ceux qui ne son pas invité passe leur chemin.

Je ris à la remarque de Iza' à propos de Chuck, je n'imaginais même pas pouvoir le mettre de côté c'est mon chouchou après tout, une soirée sans Chuck n'est pas une soirée, et puis si l'on veut passer du côté obscure il nous faut le diable de l'Upper East Side... Quant à la jeune fille qu'elle ne voulait pas voir, je ne sais pas trop de qui il s'agit, on a toujours toute une bande de fille collé à nos chaussures, et parfois c'est difficile d'en remarquer une plus ringarde que les autres, à croire qu'elles font le concours.

- Chuck devra obligatoirement être là! Et pour cette fille, je ne sais pas trop qui s'est donc bon elle doit être assez insignifiante. Je ne vois aucun inconvénient à ce qu'elle ne vienne pas!

Je retirais le jean et le petit haut que j'avais essayé et les posais en vrac sur le petit tabouret de la cabine. J'enfilais mes vêtements et me mettais à trier ce que j'allais prendre et ce qui resterais là. J'ouvris le rideau, les bras chargés de vêtements dont une vendeuse vient gentillement me débarrasser. Elle m'arrache à moitié les vêtements des mains sans même un sourire, je e comprend pas tout de suite jusqu'à ce que je la reconnaisse. On était dans cette boutique quand j'ai fais semblant d'être en couple avec Chuck, et c'est cette vendeuse qui nous a servi de bouc émissaire... Repenser à cela me fait sourire, tandis que je le regarde s'éloigner avec mes vêtement, apparemment elle ne m'a pas oublié... Je me tourne alors vers Iza qu me parle d'engager un "doorman" pour vérifier qui entre dans notre soirée. C'est une très bonne idée je trouve.

- Oui ça nous sera utile, il faudra être sélectives pour la liste des invités et je n'ai vraiment pas envi que les gens se passe le mot et qu'on se retrouve envahis de personnes indésirables...

Je souris à Jenny lorsqu’elle dit que cette fille n’étais pas obliger d’être là mais que Chuck, oui. Une soirée sans Chuck, c’est une soirée complètement ratée et surtout si c’est une soirée de débauche. Je n’avais qu’a lui demander et il dirais oui avec joie...En fait, je crois que n’importe qui lui proposerait d’assister à une nuit de débauche qu’il dirait oui sans avoir plus d’information.

-T’a raison. On va devoir être très sélective...Et pas de passe droit! J’ai pas envie qu’on se traine les détritus de Constance et St-Jude

En direction du comptoir pour payer nos achats, je fis une halte devant le présentoir à bijoux et à lunette soleil. Mais mon regard fut attiré vers la vendeuse qui semblait en vouloir à Jenny pour une raison qui m’échappait. Je la regardai s’éloigner et fixa Jenny.!

-Qu’es qui lui prend?

En attendant ça réponse, je me mit à essayer tout plein de lunette fumée avant d’en choisir deux pair puis je choisi deux collier aussi et trois ceinture. Après un moment, je choisir un sac à main...ou deux être deux. Quel importance d’ailleurs un ou deux article de plus?

Je hoche la tête en signe d'approbation lorsque mon amie me disait qu'il faudra faire le tri pour ne pas se retrouver avec les détritus de Constance et St jude. Nous nous arrêtons au niveau du présentoirs à lunette et à bijoux et pendant que Iza' regarde les lunettes j'en profite pour jeter un coup d'oeil aux sac à main. L'un d'entre eux me tape plus à l'oeil que les autres, un sac en cuir verni bleu électrique un peu rock de chez Juicy Couture, il irait vraiment bien avec le cardigan que j'ai acheté chez Barneys la semaine dernière... Je fus sorti de ma contemplation par mon amie qui me demandait ce qui arrivait à la vendeuse. Encore une victime du célèbre Chuck Bass... Lol! Je souris en repensant à mon petit manège avec Chuck avant d'expliquer la situation à Izadora.

- Chuck m'a accompagné pour faire les boutiques et la vendeuse avait l'air d'être charmée, comme toutes les filles... Sauf que pour m'amuser un peu je lui ai mené la vie dure et je lui ai fait croire que Chuck et moi étions en couple.

Je jetais un rapide coup d'oeil à la vendeuse qui rangeait nos vêtements derrière son comptoir. La pauvre elle pensait vraiment pouvoir séduire Chuck?! Comment les filles peuvent-elles encore se laisser avoir, sa réputation n'est plus à faire, tout le monde sait comment il traite la gente féminine, et pourtant elles continuent à croire qu'elles pourront le rendre amoureux...

- Apparemment elle n'a pas oublié... Et elle n'a pas vraiment apprécié.

Je continuais à écouter ce qu’elle disait tout en choisissant des accessoires pour accompagner mes futures tenues. Ce qu’elle pouvait êtres idiotes cette vendeuse. Pensais telle vraiment avoir la moindre chance avec Charles? Il eu valu un miracle, la pauvre. Je la regardais de haut en bas. Il fallait avouer qu’elle était jolie. Un peu plus petit que moi, les cheveux bruns, qui étais très clairement une couleur artificielle, les yeux noisette. Elle était jolie, mais ne semblais pas avoir une très grande personnalité ni même une très grande confiance en elle. Enfin bref, elle pourrait peu être se retrouver entre les draps de Chuck pour une nuit mais pour la vie? D’ailleurs je ne savais même pas s’il avait déjà songer à vivre un vie avec une seule et unique femme. Enfin bref, je mit les accessoires sur le comptoir et je suis aller avec Jenny voir les sacs à main.

-Pauvre fille...Elle crois vraiment à sa chance, hein? Bon, après tout, on fit que l’espoir fait vivre.

Je souris à mon amie. C’est se que les gens sans talent, sans compte en banque à craquer et sans rien du tout disent. Ouais bien sur que oui c’est bien qu’avoir des rêves et d’espérer. Mais c’est loin d’apporter une réponse à tout les problèmes. J’ai ensuite regarde les sac que Jenny avais entre les mains.

-J’adore ce sac. Tu devrais le prendre, il te ressemble un peu je trouve.

J’ai souris de nouveau et j’en est prit un blanc d’un tout autre model. C’étais un grand four-tout et je m’en servirais surement pour l’école.

-T’a tout ce qu’il te faut?

Au moment où je fini ma phrase mon téléphone se mit à sonner. Je cherchais dans le fon de mon sac à main et au bout d’un moment, je l’ai trouvé. J’ai regardé l’écran de mon sidekick rose ornée d’une multitude de pierre précieuse avant de répondre. Je voulais être sur de répondre dans la bonne langue et de pas parler en Russe à une personne qui ne le comprenais pas ou encore parler en Anglais si c’étais mon père qui m’appelais. Je me suis éloigné un peu de Jenny et des vendeuse pour parler puis je suis revenu au bout de presque pas deux minutes.

-C’étais un employer de Vuitton. Il on terminer ma commande.

La jolie blonde connais Chuck depuis longtemps, elle sait donc autant que moi que cette pauvre fille n'avait aucune chance de le séduire. Il s'est amusé avec elle en attendant que je finisse mes essayages et c'est tout, elle n'espérait quand même pas qu'il l'a rappelle, quelle naïveté!
Izadora me confirme dans le choix du sac à main. Bon ok j'en ai déjà des tonnes mais un sac c'est très important, il en faut pour chaque tenu alors autant que je l'achète. Et puis c'est vrai qu'il me ressemble un peu, classe, beau, tape à l'œil, et pas du tout ordinaire, le genre de sac qu'on n'oublie pas, tout comme je suis le genre de fille qu'on n'oublie pas. Bon ok je me la raconte un peu mais sérieusement vous m'avez vu?! Je suis loin d'être une fille qui passe inaperçue, j'ai d'ailleurs toujours détesté être comme les autres, rentrer dans le moule, alors que c'est exactement ce que ma mère voudrait que je fasse...
Le téléphone portable de mon amie sonne, elle le cherche un petit moment dans son énorme sac fourre tout et décroche en s'éloignant un peu pour prendre l'appel dans le calme. J'en profite donc pour aller au comptoir en l'attendant. J'y dépose le sac et un petit top pris vite fait dans le rayon en passant, pas la peine de l'essayer. La vendeuse me regarde toujours aussi froidement et je hausse les yeux au ciel. Elle y croyait vraiment la pauvre. Je rempli le bon afin qu'ils me livrent mes achats directement chez moi, vu la quantité il est hors de question que je me trimballe ça dans toute la ville, et le tend à la vendeuse un grand sourire aux lèvre.
La jolie mannequin revient en me disant qu'il s'agissait d'un employé de chez Vuitton, je me demande bien ce qu'elle à pu commander. Iza' a toujours des idées en ce qui concerne la mode mais la plupart du temps elle porte les création de sa mère qui, il faut l'avouer, son tout bonnement fantastiques.

- Qu'est-ce que tu leur a commandé?

Du coin de l’œil je regardait Jenny au comptoir qui remplissait un bon de livraison pendant que moi je parlais avec l’employer de chez Vuitton. Après un court échange, j’ai remit le téléphone dans mon sac et j’ai rejoint mon amie au comptoir, pour payer à mon tour. Je prit a mon tour un de ses bon de livraison. Pas question que je marche dans les rue de New York avec tout se poids à mes bras. Jenny avais sans doute pensé la même chose que moi. Je les aurait sans doute prit avec moi si des « wannabe » avait été avec nous ou si un gentil garçon m’avait accompagner. Mais les trainer toute seule? Faut pas rêver.

En écrivant sur le papier, j’ai répondu à mon amie en même temps.

-Rien de très extraordinaire. J’ai commandé trois grandes malles avec mon nom dessus, deux valises, trois sacs à mains, plusieurs bagues, bracelets, colliers, boucles d’oreille. Ensuite y’a des stylos, j’aime plus ceux que j’ai pour l’école, des livres de voyages...Ah, et pas mal de paire de souliers si je me souviens bien...au moins trois. Sans oublier quelques robes.

Je souris à mon amies. J’aimais tellement avoir de nouvelle chose. Bon, j’en avais pratiquement chaque jours, mais j’en avas rien à faire. A chaque fois, c’étais aussi merveilleux que je jours de noël.

-Ça te dérange si on va voir, j’ai pas envie qu’il livre n’importe quoi chez moi

JE souris de nouveau avant de regarder la vendeuse qui semblait attendre notre payements. Ça semblais évidant qu’elle était nouvelle dans cette boutique. Mais je ne suis pas énerver contre elle et je suis est expliquer

-Met ça sur ma facture...Izadora Manhattan Oulianov. Puis, a la fin du mois, vous l’envoyez à Nikolaï Vladimir Oulianov, à la même adresse que vous allez livre mes chose. Et je les veut aujourd’hui, quand je vais rentre chez moi, je veut qu’elle m’attende dans le hall de mon appartement!

J’ai regarder la jeune fille qui semblais chercher dans l’ordinateur. Elle eu soudainement une illumination, s’excusa et me fit signer un bout de papier qui semblais être la facture de mes achats. J’ai même pas regarder le montant. Personnellement, que ça coute deux dollars ou un demi million, ça ne changerais rien au déroulement de ma journée.

Izadora m'explique le contenu de sa commande, comme toujours c'est assez faramineux mais après tout puisqu'on a les moyens pourquoi s'en priver?! Une fois le bon de livraison de la jolie blonde rempli nous nous apprêtons à partir tandis que la vendeuse nous regarde perplexe comme si elle attendait quelque chose. La jeune mannequin réagit plus vite que moi et explique à la vendeuse que la facture doit être envoyé chez elle et qu'elle paiera à la fin du mois. Non mais sérieusement d'où ils l'ont sortie celle-là?!

- Pas de problème allons-y! De toute manière je n'ai rien de prévu pour aujourd'hui on a toute la journée s'il le faut!

Je souris à mon amie et nous partons de la boutique sans même un regard pour la vendeuse. Je sors mes lunette de soleil de mon sac à main et les pose sur mon nez. Un groupe de trois garçons passe au même moment et il nous dévisage comme s'ils n'avaient jamais vu de filles de leur vie. Si encore ils étaient mignons... Mais là on ne peut pas dire que ce soit le cas. Nous nous approchons du bord de la rue et je lève le bras pour appeler un taxi. En quelques secondes deux taxi s'arrêtent près de nous, nous montons dans le premier et le chauffeur se met à conduire en direction de chez Vuitton.

C’étais clair qu’elle était nouvelle la pauvre. Après avoir expliqué, moi et Jenny on est sortie dehors. A L’extérieur, j’ai mit les lunettes fumé que j’avais dans mon sac à main. La porte derrière nous n’était pas encore fermer qu’une bande de garçon avait ralentie leur marche et nous regardait de la tête aux pieds. Pauvre eux, même dans leur rêve les plus fou il n’aurait la côte avec une fille dans notre genre. Il était loin d’être mignon, enfin selon mes critères à moi. On était pas mal habituer de se faire regarder comme ils le fessaient là, mais sa ne voulais pas dire que ça nous plaisait tout le temps.

Derrière mes lunettes fumées, je les jugeais comme il ne l’avait jamais été pendant que Jenny hélait un Taxi qui s’arrêta immédiatement. Un des gars du groupe allait nous parler, mais on ouvrit la porte du taxi et s’installait à l’intérieur. Faut dire qu’on aurait pu y aller a pied Chez Vuitton puisqu’il nous aurait seulement fallu traverser la rue et marcher trois coin de rue tout au plus. Mais pourquoi marcher quand on peut rouler? De plus, la bande de plouc nous aurait sans doute suivie jusqu’à là. Après quelque minutes dans le taxi à parler de tout et de rien, le véhicule c’est immobiliser. On étais déjà arrivé. Jenny allais sortie un billet de son sac mais je fut plus vite qu’elle. J’ai donné un de mes billet avec la portait de Ulysses S. Grant et je suis sortie du Taxi avec Jenny sans attendre la monnaie. Il avait sans doute plus de besoin que de moi de cet argent de toute manière.

En entant dans la boutique, une vendeuse est venue nous accueillir. J’adore les employer de chez Vuitton. Ils sont tous gentil, charmant et il me connaissait bien, pas besoin de leur expliquer comment ça marche mille et une fois.

- Vous êtes sans doute venu voir votre commende, je vais vous la chercher.

-Merci.

Avec Jenny on est entrer un peu plus dans la boutique. Alors que la jeune femme s’éloignais pour aller chercher ma commende, j’ai regarder avec Jenny des porte-monnaie et des portefeuille qu’il y avais et les sac à mains.

-La prochaine boutique qu’on va, c’est toi qui choisie.

Elle avais choisie Abercrombie & Fitch, j’avait choisie Louis Vuitton. ¨ca serait donc à elle de choisir la boutique où l’on irait acheter d’innombrable chose. J’étais d’humeur joyeuse et dans ses journée, j’ai toujours envie d’acheter mille et une chose.

Le taxi s'arrête après de brèves minutes devant la boutique de Vuitton. Izadora est plus rapide que moi et sort un billet de 50 dollar avant que je n'ai eu le temps d'ouvrir mon sac. Nous descendons donc du taxi pour entrer dans la boutique où une vendeuse nous accueille avec un grand sourire. Apparemment elle a immédiatement reconnu Izadora, en même temps je crois que c'est l'une des boutiques préférées de la jeune fille. Moi je n'y viens que très rarement, et la plupart du temps c'est avec mon amie. Vuitton n'est pas vraiment une marque que j'affectionne je trouve ça trop classique à mon gout, pas assez extravagant. Après tout dépend des gouts, personnellement je trouve que ça ne me ressemble pas alors que quand je vois Iza avec l'un de leur sac je trouve qu'il est parfait pour elle, qu'il met ses tenues en valeurs... Nous marchons dans la boutique en regardant les différents sac et porte feuilles exposés. S'il y a une chose que l'on ne peut pas leur enlever c'est qu'il représente très bien le luxe, lorsque l'on est dans une de leur boutique on aurait presque l'impression d'être dans un musée lol!

- Et si on allait chez Fendi?! Je déteste leur manteaux de fourrure mais pour tout le reste ce sont les meilleurs! Y a pas à dire quand les italiens et les français se mettent à la mode les new yorkais peuvent se rhabiller lol!

Je sourit a la proposition de mon amie. Oui, Fendi offrait une bonne variété de chose autre que leur manteau de fourrure. De toute manière, il n’était pas question que je mette un animal mort sur moi, je n’aimais pas vraiment le style, et en arrivant chez moi, j’aurait droit au sermon du siècle, ma mère est végétalienne et ne mange, ne porte ni ne fabrique rien qui provient d’un animal. La seule chose qu’elle me laisse porter c’est du cuir, encore heureuse sinon j’aurais plus rien a faire chez Vuitton.

-Tu a raison, une chance que les Français et les Italiens sont là.

Je me suis alors retourner pour voir la jeune femme et un jeune homme apporter ma commende. Il l’avait mit sur une chose roulant pour que se soit plus facile a venir me montré. Je ne pus m’empêcher de sourire à la vue de mes nouveaux achats. Je me suis approché, avec Jenny, de ce qu’il venait d’apporter. Ils m’expliquaient et ouvrit chaque une des malles. Il y en avais deux pour mes vêtements et une pour mes chaussures et les étais toute les trois empreint de mon prénom : Izadora Manhattan Oulianov. Normalement, il n’inscrive que trois lettre maximum, mais quand on fait partie d’une des plus riches familles de New York la quantité n’est pas un obstacle. Ils m’ont ensuite montré mes valises, aussi marqué a mon nom, mes sacs à mains, des bagues et autre bijoux des souliers et deux ou trois robes. Tout y était, le compte était bon. Je ne pouvais pas trimbaler ça avec moi dans les rues de New York et ils le savaient, c’était pourquoi ils étaient déjà entrain de remplir mon bon de livraison et de me faire signer la facture. Cette fois-ci, j’ai regardé le montant que mon père recevrait bientôt pour mes extravagances...Il y avait pas mal de zéro...normal quand c’est du sur mesure. J’ai dit au revoir au vendeurs et moi et Jenny on est sortie.

-Mon dieu que j’aime cette boutique...Alors, Fendi, c’est ça?

» Salut ft. Izadora
» Izadora M. Oulianov